13 mars 2012

La voix de l'au-delà



Merci beaucoup
pour tout
 


D'où que vînt le vent il entendait cette voix
notes en galaxie et douceur de velours
dans le creux du souvenir traçant une voie
qui devenait royale à tout rai du jour

D'où que vînt le vent il sentait cette caresse
noblesse en élégance du grand firmament
voile drapé en si belle et longue finesse
tel un navire au mât paré d'agréments

Et voguait la voix comme des mots en tendresse
sans écrire son nom mais se faisant sentir
vent en tempête en recherche de liesse
fatigué d'être furie sanas jamais mourir

S'éveilla l'orchestre en si belle altitude
les coeurs et les pensées en toute plénitude
discret frémissement en toute solitude
en quête inconsciente d'un éternel prélude

Au-delà de son être
une chanson peut naitre
et n'être qu'au-delà
de cet au-delà d'être

Il se peut que je vienne moins souvent vous voir. Je vous prie de bien vouloir m'en excuser.
Il se peut aussi que mon blog, de temps à autre, soit inaccessible.
Ne croyez pas que je l'ai fermé.
Simplement cela voudra dire que je ne serai pas là pour diverses raisons , au demeurant très variées.
Ne jamais vous inquiéter pour moi.
Vous m'avez déjà beaucoup donné.

04 mars 2012

Les fleurs de la pensée



Merci beaucoup
pour tous vos messages
 
 

Les fleurs de la pensée telles les fleurs du coeur
poussent dans un jardin sur une fibre verte
fragile évocation en parole diserte
fraîche comme un regard qui jamais ne meurt

Reflets blancs ou roses d'un baiser volé
virginité d'un bouquet habillé de fête
ils caressent les cheveux comme des comètes
faisant fi de celles qu'ils pourraient irriter

Les fleurs de la pensée autour d'un verre de thé
avaient raconté les plaisirs de leurs amours
sans jamais avoir su le secret de ces jours
qui du même rayon les avait fait trembler

Et quand elles vinrent au banquet rayonnant
épanouies au soleil en leur joli parterre
en prestance s'avança le prince Aster
leur avouant qu'elles avaient eu le même amant 


Ce poème est le reflet de ce que j'ai pu ressentir si fort chez vous.
Mais un reflet seulement.
Vous avez tant de facettes, tant de bonheur ou tant de tristesse. Tant de sensibilité et tant de secrets.
Comme autant de perles qui de vos yeux n'osent s'épandre en larmes colorées.